Ce 1er mai 2025, le (SNTP), le syndicat national des travailleurs des postes, s’est réuni au centre Bopp, pour paraphraser leurs feuilles de doléances et revendications pourvues d’urgence. Dans un contexte de crise sectorielle, le syndicat national relance les préoccupations à l’endroit des nouvelles autorités.
Il est sans nul doute que la Poste nationale est en ruine durant deux régimes de revendications. Le sacerdoce de ces dernières se croise autour d’un besoin de relance suivi d’un financement de l’État.
Selon Monsieur Hamed DIOUF, secrétaire général du syndicat des travailleurs des postes :
« L’Ancien Régime avait déclenché une procédure de restructuration de la poste, étant trop en avant par rapport à la démarche ».
Cette « restructuration de la poste » symbolisait la clé de voûte, marquant le frappe synergique de toute porte d’urgence.
Aussi, «la recapitalisation de la poste », or, cette dernière a perdu l’entièreté de ses capitaux pendant plusieurs années à en croire le SG. DIOUF.
En outre, « une relance des activités » a été traduite dans l’optique de redémarrer le standard et de mettre fin à la crise sectorielle.
De plus, « la reconstitution des fonds », prise en compte, les Sénégalais peinent à faire des opérations normales, car les comptes ne sont plus disponibles dans les caisses.
De surcroît, un abus sur les recrutements de la poste a conduit à la direction générale à ce qu’elle convie les partenaires sociaux pour discuter sur l’éventuelle question des départs négociés, par conséquent, un protocole d’accord a été signé.
« Nous demandons aux nouvelles autorités de respecter ces protocoles d’accord en le finançant » a revendiqué M. Diouf SG du syndicat national des travailleurs des postes.
À l’occasion de la fête du travail, ce 1er mai 2025 représente une occasion pour la masse, mais un atout de revendications pour les travailleurs tels que le (SNTP), syndicat national des travailleurs des postes et SUTSAS syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale qui, depuis des années, décrivent la situation catastrophique que traversent les secteurs.
Papa S Traoré