LA PAGE NOIRE DE L’HISTOIRE COLONIALE
Jadis, les blancs empaquetaient le sacré globe noir. Fragile histoire, révélant une tournure de violations humaines que la plume rouge n’a jamais chouiné.
Des privateurs occidentaux venaient en Afrique, pour des raisons à la fois triangulaires et tridimensionnelles, telles que l’administration coloniale, l’exploitation des richesses et la transformation culturelle.
Ils s’entretuaient inhumainement pour ne brûler que du métal argenté, tandis que le diamant noir brillait déjà en »Alkabulan ».
Néanmoins, ces derniers sont parvenus à réussir le coup, en monétisant injustement leurs capitaux aux comptes des victimes du sang noir.
Naguère, un groupe d’intellectuels issu de l’école coloniale, réchauffait la marmite des substances coloniales tout en dépouillant leurs peaux originellement noires.
SÉNÉGAL PARMI LES PLUS IMPACTÉS DES PIRES SÉQUELLES DE LA COLONISATION :
L’histoire du Sénégal depuis 1960 : révèle une indépendance redoutable, incertaine et hypothétique. L’école n’a fait qu’émerger des fausses thèses et hébergé des antithèses.
Malgré sa prise dépourvue, ce pays continue d’être privé de souveraineté, à la fois économique et pire administratif.
Décris comme rétroviseur des intérêts néocolonialistes, paradis de l’administration topologique et typographique de la »FR ».
Pays du lion qui n’a guère rugi, la »Teranga » détient une administration soumise totalement aux colons. Une gestion inspirée de la nomenclature administrative de ces derniers.
Une fameuse copie indifférenciable voir identique à celle du colon.
Partant de ces précisions, personne n’ose contester la place managériale du Sénégal, qui tire ses origines du (bleu blanc rouge).
En réalité, aucune rupture souveraine n’a été émise, ni prise, ni entreprise, à part attirer des rayons d’éclipse et du feu congelé.
Une quasi-indifférence s’étire à bout, forgeant une logique de pareil type. Cela relève une preuve testimoniale des faits flagrants.
L’ADMINISTRATION DE MARQUE FRANÇAISE AU SÉNÉGAL
Depuis plus d’une moitié de siècle, le Sénégal s’inspire d’une démarche pareille que la France.
Cet égalitarisme a coûté ce pays d’une valeur horrible.
Or, des énarques gazonnant la fonction publique, parviennent à façonner négativement l’administration sacro-sainte.
L’ENA (école nationale de l’administration), d’emblème prestigieuse école, dépositaires des legs coloniaux, n’est plus aux préceptes.
C’est pour cela qu’une bande de transmetteurs dissout la leur. Mais, sans citer des écoles de l’administration de pareil type qui continuent à nourrir d’exaltation.
Des difficultueux et oppressés ont pu chambouler les perspectives en vigueur, espérant semer la clairvoyance de l’éclairage.
QUELLE ADMINISTRATION POUR LE SÉNÉGAL
Le populisme n’a réussi aucun pari, encore pire, n’a changé aucune donne du système.
Le Sénégal mérite une administration culturelle et moderne. Apparentée d’une étude adaptée aux réalités sociopolitiques
Une administration sacro-sainte et enracinée, tirant ses offices au Sénégal en Afrique et au reste du monde.
Pour le Sénégal, l’administration doit se lier à la ligne historique du pays et au niveau du développement économique.
Mieux encore, une administration libre et transparente. Digitalisée et synchronisée.
Optimisant les coups stratégiques
Pour la mise en œuvre des politiques publiques liées au service public.
Transformant le leadership et le développement au sens africain du terme.
Papa S. Traoré
