Le ( WAASuN ), le réseau ouest africain de surveillance des Aedes, a effectué sa quatrième réunion à Dakar, dont l’objet étant l’idée de faire le point sur l’état d’avancement de la recherche, de partager les résultats et de réfléchir sur les stratégies de lutte contre les maladies à transmission vectorielle en Afrique de l’ouest.
Tenue ce lundi 24 juin 2024, à l’hôtel le Niambour, la quatrième réunion de Dakar initiée par » the west African Aedes SURVEILLANCE », l’institut Pasteur accompagné d’experts et de recherchistes, s’associent conjointement pour effectuer le partager sur l’état des résultats conclus partiellement lors des activités.
Cependant, la question du financement méthodique visant à s’organiser pour organiser une lutte résultante, étant l’amorce des propos recueillis d’après Monsieur Mawloud Diallo, responsable de recherche à l’institut pasteur. Parce qu’un nouveau vecteur s’agissant de l’aedes qui sont appelés des moustiques piqueurs de jour, qui ont d’autres comportements différents aux moustiques qui piquent de nuit.
Différents types selon M. Mawloud Diallo : << C’est des moustiques que nous élevons dans nos propres récipients , de Canaries ou de stockage d’eau, le pot de fleurs >>. Cependant, d’autres méthodes préventives doivent être adaptées vu que les moustiquaires sont traditionnellement utilisés le jour. << C’est une moustique urbanisée >> a-t-il ajouté.
Dans une dynamique plus explicite, apportant plus de clarté, M. Diallo rajoute : << C’est nous même qui l’élevons dans notre environnement >>. Sous ce prétexte, des attentes souveraines sont attendues, axant sur le financement destiné à la formation, à la recherche approfondie et à la lutte contre ces maladies négligées, méconnues qui sont de nature à transmission vectorielle, de la famille du paludisme, particulièrement celle de l’Aedes.
Papa S Traoré
