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ROAJELF FACE AUX DEFIS PRÉCOCES POUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES DE VBG

Le réseau ouest africain des jeunes Femmes leaders, connu sous l’acronyme ( Roajelf), se compte l’un parmi les réseaux les plus visibles dans les affaires de lutte stratégique pour les causes féminines dont’ la lutte contre les violences basées sur les genres en est une illustration phare. Face à l’opinion nationale, ce vendredi 19 juillet 2024, le dudit (Roajelf), a initié un atelier de capitalisation, entrant dans le cadre d’un projet de plaidoyer régional pour la mise en placement des structures de prise en charge notamment de violences conjugales.

Atelier tenu au musée de la femme, sis à la place du souvenir africaine, un panel s’est effectué en relief entre Roajelf, le ministère de la famille et des solidarités, représentée par Madame Ramatoulaye Touré Diop, de la Division, de la formation et de l’inclusion sociale, à la Direction de l’equité et d’egalité de genre en charge de la famille et des solidarités, sans citer les partenaires sociaux, en vive synergie, ont posé le réel débat faisant l’objet d’étude tournant autour d’un projet de plaidoyer régional qui couvre trois pays socio-culturels en commun en matière de violences basées sur le genre en particulier et ses différentes formes.

ROAJELF FACE AUX DEFIS PRÉCOCES POUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES DE VBG

À cet effet , une crème de guide était détectée dans un plaidoyer fait par (ROAJELF), dans une heuristique pour une démultiplication des structures de prise en charge <<holistique>>, expliqué selon les propos recueillis de Madame Ziporah Ndione , coordinatrice du roajelf, qui clarifie que : «c’est sur toute la chaîne de prise en charge. Que ce soit au niveau médical, au niveau psychologique , au niveau sanitaire mais également au niveau de la réinsertion». C’est en ce sens qu’une mise en place d’un fonds d’appui inscrit dans le registre dudit plaidoyer, voulant semer une démultiplication des structures pour la meilleure prise en charge des survivantes, vulnérables victimes voir les femmes violentées.

En vertu de ce plaidoyer, des violences basées sur le genre au Sénégal n’est plus objet de débat, mais la sous-région telle que le Bénin le Burkina-Fasso dont diverses sources ont été révélées voir les pourcentages d’après l’ONU. Un taux de 27%de femmes âgées de 15 à 49 ans, beaucoup ont subi des violences physiques. Donc combien de femmes survivantes ont subi de violences psychologiques oui d’autres formes non prises en charge. Le défi à ce niveau se situe entre deux extrémités : démultiplier les centres et structures de prise en charge des victimes et un fonds d’appui permettant d’assurer la prise en charge matérielle comme immatérielle afin de régler certaines contraintes liées aux réalités socioculturelles des trois pays qui ont pratiquement les mêmes effets de cause qui sont : Sénégal, Bénin et Burkina-Fasso.

À cet égard, puisqu’au Sénégal, avec les réalités socioculturelles, les survivantes ( femmes qui subissent de VBG), victimes d’injustices sociales notamment dans les ménages, un taux très important d’environ 55%, étant considéré comme taux de prévalence des VBG dans les ménages sénégalais. Cependant, à défaut de suffisance des centres, à défaut de moyens techniques comme financiers pour une meilleure prise en charge ainsi l’insuffisance des structures de prise en charge, ont poussé aux jeunes femmes Leaders de (ROAJELF), a faire un plaidoyer pour un fonds d’appui, appelant toutes les autorités étatiques, sous la présence de la représentante du ministère de la famille et des solidarités, Madame Ramatoulaye Touré Diop, à la prise en charge des survivantes de VBG.

L’esprit derrière ce panel vise au-delà des faits critiques suscitant les crises suivies d’impacts négatifs des survivantes dans leur vie, vise à l’issue de cet élégant plaidoyer, à faire de sorte que les cas des survivantes soient rayonnants au cœur de toute forme de lutte contre les VBG. À renforcer les moyens appropriés pour lutter contre la violence basée sur les genres au Sénégal comme à la Sous-région.

Papa s Traoré

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