Le développement économique de Ziguinchor se range parmi les défis les plus particuliers au sud du pays. Un fils de la région qui se nomme Bouba Sagna, déclenche une vision holistique des défis, en évidence de sa candidature visionnaire pour la présidence de la chambre de commerce de Ziguinchor.
BOUBA SAGNA UN CANDIDAT POUR LA RÉFORME ÉCONOMIQUE DE LA RÉGION DE ZIGUINCHOR
De prime abord, Bouba Sagna est un acteur économique, candidat pour la Présidence de la chambre de commerce de Ziguinchor.
Cet ambitieux est le choix de la masse telle que les jeunes, les femmes, les commerçants, les agriculteurs, les éleveurs, les associations entre autres.
Sa vision épouse tout projet générant de valeur ajoutée.
Son projet a été structuré de façon pyramidale dont l’agriculture s’élève jusqu’au sommet du bout.
Développer l’agriculture qui est un levier sacro-saint ainsi la transformation du paysage industriel, fait de lui l’idéal pour l’implantation d’autosuffisance et de la souveraineté.
À cet effet, il se profile comme idéal pour faire de la région de Ziguinchor un poumon économique de l’Afrique.
VISION TRANSFORMATIONNELLE DU CANDIDAT BOUBA SANÉ SUR LA DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE DU SUD
Plus spécifiquement, il s’agira :
• de faire une analyse de la situation de référence de la CCIAZ sur les dix dernières années ;
• d’identifier et de caractériser les secteurs d’intervention et les filières de la CCIAZ ;
• de proposer un plan de structuration et de développement des filieres et chaînes de valeur identifiées par la CCIAZ ;
• d’analyser les investissements attendus sur les différents secteurs d’intervention, des maillons des chaînes de valeur et leur rentabilité et impact potentiel sur le développement économique et social de la région ;
• de définir le positionnement stratégique de la CCIAZ en fonction des secteurs d’intervention, du choix porté sur les filières agricoles, des types d’entreprises visées et du niveau de transformation ;
• d’analyser et d’évaluer le potentiel de développement du port de pêche de Ziguinchor dans le dispositif de la CCIAZ pour mieux intégrer la filière halieutique dans le plan stratégique développement ;
• d’étudier et de proposer un plan de gestion optimale de la CCIAZ (structuration, gouvernance, services, coûts, croissance) ;
• d’intégrer le développement des PME-PMI et des exploitations familiales dans les filieres anacarde, mangue et des produits non ligneux;
• d’évaluer les effets induits du PSD de la CCIAZ sur l’économie locale (emplois, création de richesses);
• de proposer un plan de développement intégré et opérationnel.
Papa S Traoré